Les réseaux sociaux foncièrement mauvais ?
A la lecture de mon dernier article sur les réseaux sociaux, vous pouvez imaginez que je les déteste. Non bien sûr que non, c’est un concept intéressant qui a permis à beaucoup de monde de retrouver des proches avec qui ils avaient perdus contact, même si pour arriver à ce principe là, il faut oublier les sombres débuts de Facebook.
Seulement, le principal défaut inhérent aux réseaux sociaux actuels (Il n’y a pas que Facebook évidemment, on peut citer Twitter, Myspace, et la chine dispose même de son propre réseau social, dont j’ai perdu le nom), c’est que les informations sont centralisés en des points fixes et qu’ils sont à la disposition des créateurs.
Je vous conseille la lecture de ces quatre articles, qui présenteront la naissance d’un réseau social libre, open-source et décentralisé : Diaspora.
Peut-on imaginer un Facebook libre et décentralisé ?
Plus de 125 000 dollars de dons en quelques jours pour Diaspora, le Facebook libre et ouvert
Une première version de Diaspora, le Facebook libre et ouvert, arrivera en septembre
Diaspora, les premières images du réseau social libre et ouvert
Le terme diaspora désigne la dispersion d'une communauté ethnique ou d'un peuple à travers le monde. À l'origine, ce terme ne recouvrait que le phénomène de dispersion proprement dit. Aujourd'hui, par extension, il désigne aussi le résultat de la dispersion, c'est-à-dire l'ensemble des membres d'une communauté dispersés dans plusieurs pays.
Source : wikipedia
Maintenant, il faut espérer que Diaspora prenne le pas sur les réseaux existant, ce qui est loin d’être gagné. En effet, les membres de Facebook ne verront pas l’intérêt de s’isoler sur un concurrent, qu’il soit libre ou non, et il faut espérer que Diaspora trouve un moyen d’être perméable avec Facebook, un peu comme les différents clients de messagerie instantanée qui utilisent tous le protocole PPP (Protocole Point-à-Point). Seulement eh ben, c’est utopique.